Inspirations d'une elfe amnésique

Quand j'ai vu les autres poésies qui sont sur ce sujet, j'ai eu envie de faire pareil.


Je n'ai pas cherché à faire des rimes ou à faire en sorte que les vers aient le même nombre de syllabe, alors je sais pas si c'est vraiment un poème, mais je l'aime bien.
Le début m'est venu parce qu'il pleuvait et qu'un rayon de soleil a éclairé ma fenêtre et la suite me vient d'une remarque d'Alexisonic sur le fait que les poèmes tristes avec de l'espoir à la fin sont rares.
C'est pas vraiment triste, mais tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir !

J'aimerais savoir ce que vous en pensez et j'en mettrais sûrement d'autres plus tard mais j'en ai pas de valables en réserve pour l'instant.

J'aime bien ton poème. Mais, je suis surement le seul à le penser, je trouve que ça fait auteur du XIXe ou XXe siècle. Bon, c'est pas un drame.

Après, un poème en prose, pourquoi pas, ça reste tout de même un poème.
Le principe est le même, tu n'as pas chercher à faire des alexandrins et l'a fait en prose, mais ça reste poétique avec un langage métaphorique.
Bref, moi j'aime bien

Merci Einstein !
XIX e ou XX e siècle ? Serais-je plus vieille que je ne le croyais ?
C'est vrai qu'en me relisant, j'ai pas vraiment l'impression de lire un poème moderne... Peut être l'influence des romans que je lis... Va savoir ! En tout cas, j'en ai écrit trois autres que je mettrais prochainement, ils seront peut être, différents !

Bon, ben.... Voilà une autre "inspiration". J'espère que ça vous plaira.


Voilà, un petit hommage à mes amis, de ou d'ailleurs. Merci de m'accepter et de cheminer à mes côtés. J'espère sincèrement que notre route commune ne se brisera jamais.

J'ai l'impression d'avoir encore pondu un poème vieillot...

Bah si c'est ton style de poésie, n'en change pas. Moi j'aime bien, et je me reconnais bien dans les deux premiers poème, alors je dis OUI, je t'accepte à mes côtés en tant qu'amie.

Bon ben moi tu pense savoir mon idée ^^ j'adore la poésie surtout quand elle est LIBRE
ça veux dire sans code sans rien pour te dire nan mais il te manque un truc là
je n'aime juste que les rimes toutes les sortent de rime même celles qui sont complètement
différente de l'habitude (même si il n'y en a pas ici^^) bref j'aime ces poèmes!

Merci beaucoup !

En voici deux autres que j'ai écrit il y a quelques jours et un que j'ai écrit hier. Même état d'esprit que ceux-là bien qu'ils traitent de sujets différents.



Ça m'est venu (comme par hasard !) en cours. Des fois, j'en ai vraiment marre du collège. Certes, on apprend. Mais c'est tellement ennuyant...



Un peu plus court, celui-là.^^ Je l'ai écrit juste avant celui du dessous, en écho à "Je me cherche, Je me trouve et je me perd..." J'étais pas très en forme...



Voilà... Pas la grande forme, je vous l'avez dit. C'est ce que je ressens par période, mais ça ne m'arrive jamais sur Tails Dreamer. C'est un peu comme un havre d'amitié, où je peux oublier tout le reste. Encore une fois, Merci à tous.

Liberté : Yin, tu es juste comme nous tous. Cette terre est trop dûre pour de jeunes esprits. Et c'est la force de Tails Dreamer : Tant que tu te comportes bien, tout est permi. C'est tellement plus facile de s'imaginer comme dans les RPs, et ici tu es libre de toutes les contraintes de la Terre. Mais la planète bleue a encore beaucoup à te montrer, si tu veux voir ce qu'il y a vraiment derrière ces murs, tu dois juste prendre ta vie en mains, parce que être libre, c'est pouvoir faire ce que l'on veut. Pour ça, il faut d'abord que tu sache qui tu es vraiment.

Tes murs (non plus ) n'existent pas. La vie est belle, et elle te donne des libertés. Prend ces libertés, regarde-les, et tu verras de quoi je parle.

Moi : Et justement, tu te décris très bien ici. Il faut juste t'accepter tel que tu es. Mais ce n'est pas que se relancer sur ses erreurs, c'est aussi savoir que l'être humain est complexe, parce qu'il peut afficher plusieurs personnalités. Un coup il est gai, un coup il est triste, ce n'est pas juste qu'il est schizo, c'est qu'il s'adapte à son environnement. Vivre, c'est ne pas mourir . Alors tant que tu changes, tu vis. Et tu as le droit d'afficher une autre expression si la situation l'exige. Tu n'as pas un coeur de pierre que je sache .

Quête de soi : La réponse, tu l'as trouvée toute seule : Tu es bien celle que tu vois dans ces miroirs (qui veut-tu que ce soit d'autre ?). Comme je l'ai dit, ce qui nous distingue des cailloux, c'est que l'on peut changer, pour s'adapter à la situation. Si tu dois te montrer colérique, moralisatrice et paresseuse ( je t'ai jamais vue comme ça), tu as le droit de l'être. Parce que c'est toi, c'est la preuve que tu es vivante, et au delà même, c'est la vraie affirmation de ta personalité.

Tant que tu n'es pas un rocher, tu peux afficher des sentiments et des émotions, aussi positives où négatives que tu es vraiment. Retourne tes miroirs, tu te reconnaitras tout de suite .

Au fait, moi je suis en dépression, moi je peux penser des choses triste comme ça. Mais toi ? Toi tu n'as pas mes problèmes. Je ne t'interdis pas d'être mélancholique de temps en temps, mais il ne faut pas que ça te rende triste. Parce que toi ta vie est belle, il faut juste la regarder du côté de tes miroirs car ils reflèteront les rayons de soleil qui éclaireront tes idées (en français ça veut dire "acceptes-toi comme tu es, c'est le meilleur moyen d'apprécier ta vie.")

Merci pour tes conseils, vincent ! Mais "Espoir" et la fin de "Liberté" reflètent assez ce que je ressens par rapport au fait de persévérer. Je ne baisserais pas les bras ! (sauf quand j'aurais des crampes...)

Sinon, si mes "murs" n'existent pas, le tien non plus, vic...

Une nouvelle "inspiration" rédigé au stylo dans un carnet, dehors dans le froid chez ma grand-mère où je suis encore. Plus précisément, assise sur les rails de la gare ( qui n'est ouverte que le week-end ). C'est pas vraiment un poème. En fait, je l'ai pensé un peu comme du slam (paroles non chantés sur de la musique et en rythme ), du coup, ça peut paraître bizarre lu comme ça. Mais bon. Je tente quand même. On verra bien.


Je vous devance immédiatement ! Je vais très bien , je ne suis pas mélancolique ni triste, je ne rumine pas non plus sur la courtesse de la vie ou sur une quelconque impuissance que je ne ressens pas du tout. Je sais pas vraiment d'où ça vient, mais j'ai sortit ça hier, donc voilà.

Salut,

j'aime beaucoup tes poèmes, celui dont le titre est "Espoir" me donne justement de l'espoir rien qu'à le lire ! ^^ bravo !

"Amitié": j'adore l'idée ! tu y dis bien ce que tu y penses et moi, je ressent bien à travers ce poème ce qu'est l'amitié pour toi, et moi au contraire, je ne trouve pas ce poème vieillot

"Liberté": Je l'adore ! je m'y vois tout à fait en ce moment, Mais bravo, j'adore la partie où tu dis "je veux m'envoler vers le ciel" ... Continue tu fais de superbes poèmes !

"Moi": Purée, je m'y vois aussi dans ce poème ! Franchement bravo, il est très bien fait ^_^
Moi aussi " je voudrais changer" ...

"Quête de soi": je ressent un peu la même chose en ce moment et je compatie Mais ce poème reste pour moi, comment dire, très émouvant dans l'idée que ça donne l'envie de t'aider en le lisant... Mais bravo très beau Poème !!!

"La Roue du temps": j'aime bien l'idée, c'est vrai que c'est un peu triste, mais c'est beau à lire



Voilà voilà mon commentaire rien que pour toi... en espérant ne m'y être pas trop répétée

Comme je l'ai dit un peu plus haut, continue à en montrer ici, moi je les lirait avec plaisir

Bonne continuation

Merci, Angel ! Ça me fait vraiment plaisir. Je vais m'accrocher et je continuerais d'avancer sur ma Voie !

En tout cas, ça me fait plaisir qu'on comprenne ce que j'essaye d'exprimer dans mes "inspirations", c'est même le meilleur des compliments ! Merci !

Espoir ma plus mais la roue du temps ma rappeler que tous se qui a un début a une fin sinon tu a du talent enfin c'est ma vision personnel . «Elle ne maîtrise pas notre existence,
Elle la fait juste défiler.»

Merci Silver the hedgehog ! Pour ta remarque ( si c'en est bien une ) sur la Roue du Temps, ben c'est un des messages que j'ai aussi voulue faire passer, sans que ce soit le principal.

En voilà un nouveau que je viens d'écrire ( enfin non, parce que le temps de le taper en entier...). Il n'est pas très optimiste, autant vous prévenir, mais ça ma fait beaucoup de bien de l'écrire et je pense que j'ai besoin aussi d'exprimer ce "vide"...


Bon, voilà. C'est pas rose, je vous avez prévenu... Mais je ne désespère pas non plus. Pour l'instant, l'eau me terrifie et je ne vois aucun des choix possibles qui m'éloignerait de mon problème. Mais je compte acheter des lunettes de piscine pour les voir sous l'eau !

Petite précision : Le baume, le refuge, l'abri, c'est Tails Dreamer. Je ne remercierai jamais assez ses membres pour la force que j'y puise rien qu'en parlant avec eux sur la CB ou en "rpayant". Alors Merci. Sincèrement.

Ah ouais, en fait tu doutes, et ce n'est qu'à la fin qu'on apprend qu'en fait c'est parce que tu ne sais pas nager. C'est pas mal du tout implanté dans ton poème.
D'ailleurs, c'est aussi ce qui parait dans ton perso RP, génial ! Sauf que toi l'eau ne te tueras pas, alors à part te conseiller d'apprendre à nager....

Et ta roue du temps, je peux la mettre à l'épreuve de Tails Dreamer, et de son réseau d'amis que même les longues distances ne séparera jamais, tant qu'il y a du réseau. En tout cas moi, le manque de temps libre me fera souvent m'absenter, mais le temps qui passe ne mettra JAMAIS fin à une relation que j'ai eu, surtout pas si elle est renforcée par internet.

Je me suis rendue compte que mon poème se référait à mon perso seulement après l'avoir écrit.

Sinon, rassure-moi, tu as compris la subtile métaphore ( ) du fait que j'évoque le fait de ne pas savoir nager, hein ? Parce que irl, je sais nager, quand même... Mais j'ai utilisé nager parce que c'est l'impression que j'ai. Comme si de l'eau noyait tous les choix que je pourrais faire pour me sortir de cette situation, si tant est que ce soit vraiment un problème et que je ne l'invente pas...

En fait, pour reprendre avec les métaphores subtiles, je suis un peu comme sur une sorte d'île dont je n'arrive pas à m'enfuir, mais je ne sais pas si cette île est paradisiaque ou non et s'il il faut vraiment que je m'échappe ou si il vaut mieux que je m'en aille (rajoutons à cela que j'ai peur de ne pas savoir nager et que je ne sais pas si quelqu'un me l'apprendra un jour, ou si je sais déjà.)

Je suis folle de me compliquer sans cesse la situation...

Tu as écrit deux fois que tu ne sais pas si tu dois partir ou partir, mais moi je crois que cette île te réserve de merveilleuses surprises, il faut juste savoir chercher, quitte à apprendre à nager. Oh ce n'est pas à la nage que tu quittera cette île, mais on ne sait jamais, sécurité. Et puis avec tes lunettes, tu pourras voir sous l'eau pour te rendre compte que même si elle est sombre, elle n'est pas dangerseuse. Enfin moi c'est ce que je crois, même si je ne sais pas sur quelle île tu vit.
Va à la plage, où le sable rend l'eau peu profonde, fait un peu attention aux courants, et apprend à nager. Je pense, personellement, que les plus beaux poissons et les plus beaux coquillages, sont sous l'eau, cette eau dont tu as peur, et que tu voudrais fuir. Sinon explore ce que tu as de terre, toutes les forêts, les montagnes. Je pourrais t'en dire plus, mais je ne sais pas ce qu'il y a sur ton île. Invites-moi y et je t'apprendrai à nager.

Tu as sans doute raison, Vincent, mais je n'arrive pas à ne plus douter...

Voilà une nouvelle inspiration toute fraîche qui ressort une expression bien connue : "L'automne des poètes". Les feuilles mortes, ça m'inspire !



Un peu flou, je crois. Je sais pas si ça ressemble à ce que je fais d'habitude, mais j'en ai pas trop l'impression... Enfin bon. Des feuilles qui tombent, un cours de math ennuyant, un morceau de papier et les premiers vers sont nés.

Un poème qui exprime parfaitement ce que je ressens quand j'ai envie de pleurer. No Comment

Lutte

Cette boule qui monte,
bloque mon élan.
Je la maudis,
la déteste,
Elle me rend faible.

Elle arrive sans prévenir,
Fausse mes émotions.
Je suffoque,
Je bloque la boule dans ma gorge,
L'empêche d'inonder mes yeux.

Je lutte, je me retiens,
Je m'emplis de frustration.

Alors je prend une feuille, un stylo.
L'élan me calme et m'apaise,
Je redeviens moi-même
Et la douleur s'évanouit.

Sur mon îlot de mots
Je m'évade.
J'y puise ma force.

On me le reproche,
Et de nouveau, la bulle remonte.
De fureur, de frustration et de tristesse.
Je ne rétorque rien,
Je me contiens,
J'ai trop peur de m'emporter,
de me livrer.

Je retiens mes larmes et je serre les poings.

Je dois rester forte et faire face.

J'étais pas en super forme quand je l'ai écrit... --'

Et un autre ! Même état d'esprit, mais moins triste.

[/b]

Je sais pas trop ce que j'ai voulu exprimer... Mais ce qui est sûr, c'est que le Saule pleureur est mon arbre préféré.

Une nouvelle inspiration impromptue et qui m'a poursuivit sur ma trottinette à 19 h 45 en allant à la capoeira. Là encore, ça exprime parfaitement ce que je ressens et c'est dingue comme ces mots sonnent juste quand je les lis. Pour moi, en tout cas. Bref :



Cette quête de bonheur, c'est le but de chaque existence. Toute notre vie, nous cherchons à être heureux, souvent sans s'en rendre compte. Mais c'est normal, il n'y a pas à avoir honte. N'ayez pas peur d'être égoïstes à vouloir votre propre bonheur. Les humains sont ainsi faits, d'après ce que je vois. Et je pense que si on ne se tue pas, là maintenant tout de suite, c'est sans doute grâce à cet Espoir de bonheur et de joie. C'est une raison comme une autre de continuer à vivre...

Ça faisait un petit bout de temps que j'avais plus poster de poèmes, sans doute parce que mon "problème" est en quelque sorte résolu.
Bref, la poésie qui suit est une rédaction que j'ai écrite pour le collège (une rédaction de français, en fait). Mais je l'aime bien, alors je la poste.


C'est sur la perte de la naïveté par rapport aux contes et histoires, surtout. En grandissant, on ne croit plus en ces si belles légendes, alors certains en écrivent d'autres.

*Atchoum !* Y'a pas mal de poussière, par ici...

C'est un poème assez court que j'ai écrit dans la même période que Saule Pleureur mais avec le même état d'esprit que Liberté. Je l'ai retrouvé dans un carnet et je me suis dit que ça faisait longtemps que j'avais pas posté ici. ;)Donc je prend cette occasion comme un prétexte pour dépoussiérer ce sujet. :p
Il n'a pas de titre, je ne me voyais pas reprendre le premier vers.

Dernièrement, je pensais que j'avais pas d'inspiration poétique. Mais faut croire que j'avais juste pas "besoin" de m'exprimer par la poésie.  Non pas qu'il se soit passé quelque chose, mais y'a quelques jours déjà, j'ai eu une idée et j'ai écrit ce poème d'une traite.