Un membre de la Résistance est incarné temporairement par un administrateur du RPG pour vous lancer dans le RPG ou pour aider ceux qui sont dans le QG de la résistance. Cette présentation peut aussi vous servir d'exemple. Enfin, il vous est possible d'incarner Mickaël Dubois comme votre propre personnage mais seulement après négociations avec les admins en question.Nom de famille : Dubois. Descendant d'une grande famille de bûcheron, métier dont il n'a que faire.
Prénom : Mickaël. Comme c'est un prénom avec une orthographe compliquée, on lui demande souvent "Comment ça s'écrit ?", il répond "Correctement."
Surnom : Coolman, Robin Jackson.
Âge : Ziva qu'il a 16 ans le type.
Sexe : Who mec ça se voit que chuis une racaille !
Apparence : Hybride castor gris, il fait partie de la rare catégorie de mâles habillés. De petite taille, il paraîtrait plus jeune qu'il ne l'est sans ses vêtements. Il passe son temps à faire des gestes bizarres avec ses doigts, tout en remuant souplement les épaules et les bras, soit distant pour avoir l'air cool. Il aurait l'air d'être en trian de danser, s'il ne faisait pas continuellement des grimaces à base de demi-froncement de sourcil et d'avancement des lèvres, histoire d'être "pris au sérieux", bien que ça le rende positivement ridicule. Ses bras et ses jambes sont fins, sa fourrure est plutôt discrète (en raison de sa manie de s'habiller) pour le style, mais sa grande queue plate et sa coiffure désordonnée le font difficilement passer inaperçu.
Equipement : Toujours coiffé d'une casquette noire et verte qu'il porte à l'envers, il porte une tenue noire ou verte foncée, de grandes bottes sombres qui le grandissent, et deux trois bagues aux doigts, plus pimpantes qu'elles ne sont chères.
Mais ce qui le rend vraiment particulier, c'est son arc et son carquois qu'il garde toujours aux épaules, ajouté à son gros blaster et son duo de pistolets à la ceinture, dans laquelle il range aussi son "terrible et dangereux poignard" (un couteau de cuisine), sa réserve de munition et sa bourse.
Oui, parce que le porte-monnaie, c'est surfait. La bourse, c'est plus cool.
Capacités physiques : Un sacré danseur de danse moderne, un don inné pour la tchatche, un problème visible avec le langage soutenu. Il déborde d'énergie, et n'a que faire des obstacle ou des conditions atmosphériques, tant qu'il a l'air "cool". Il est un excellent archer, à peu près aussi bon tireur. Il ne court pas particulièrement vite, mais si on lui dit qu'il est trop lent pour être stylé, il fuse comme un fou. Il n'atteint ses limites que s'il y est poussé, et comme il n'a pas l'habitude d'être fatigué, il met beaucoup de temps à récupérer à partir du moment où il ressent la fatigue. Il parle très vite et dans un langage de rue parfois incompréhensible, et comme en plus il fait des gestes encore plus incompréhensibles et décalés avec la situation, il est assez difficile de suivre une conversation avec lui. Il a tendance à s'exclamer avec un ton dénudé de tout sérieux n'importe quel texte, comique, tragique ou effrayant, ce qui le rend très drôle. Enfin, il est complètement nul en combat rapproché, et peut être mis à terre très rapidement.
Pouvoirs : Son don pour l'archerie et le tir sont quasiment un don du ciel. Il atteint n'importe quelle cible à distance, en tenant compte de tous les obstacles et du vent.
Il a en effet développé un vrai don, car il a la possibilité de visionner tout terrain connu dans sa tête, et ainsi constater n'importe quel changement. Il est le garde idéal : ne dort quasiment pas, repère n'importe quel intrus, peut l'abattre à n'importe quelle distance... C'est juste un boulot pas assez cool pour lui.
Personnalité : Neutre - Hero. En fait, il ferait tout pour être cool, et ceci quel qu'en soit les conséquences. Mais comme on l'a persuadé qu'Eggman est pas cool et que le combattre c'est hyper stylé, il combat le mal... A sa manière. EN effet il ne fait quelque chose que si ça vaut le coup, et que s'il est sûr d'y arriver. Parce que rater, c'est pas cool.
Cool, branché, avec son titre en feu... Il est en avance sur tout le monde au niveau de la mode, tellement qu'il ne l'est jamais. Il n'a pas d'envie particulière de pouvoir, recherche la gloire par tous les moyens, et encore, une forme de gloire très particulière, puisqu'il s'attend juste à ce qu'on lui dise qu'il est cool.
Avec un étranger, sa première réaction est immanquablement de lui débiter un énorme discours comme quoi c'est lui le best et qu'il y a pas plus cool. Ensuite, il se renseigne sur ses intentions.
Eggman, il est pas cool. Donc faut lui taper dessus. Parce qu'arriver à ridiculiser un dictateur que personne n'aime, c'est le plus topissime niveau de coolitude qu'on puisse atteindre.
Histoire : Mickaël Dubois, c'est juste un petit gars de la rue. Né dans Métropolis et ayant fait partie de pas mal de gagns de rues, il est rapidement devenu celui qu'il est à présent : un rebelle, qui vit sa vie comme bon lui semble, qui cherche à être respecté et qui parle son propre langage.
Ses parents appréciaient très peu que leurs fils commence à rêver de "coolitude" et abandonne la grammaire. Le parfum de Metropolis n'était pas forcément ce qu'il lui fallait. Ainsi, aux vacances, la famille Dubois partait explorer des contrées boisées et plus ou moins sauvages. Il fallait que Mickaël exerce un sport, aussi son père lui offra un magnifique arc, au style guerrier, pour le convaincre que c'était méga top.
Mickaël essaya. Et il trouva rapidement super cool d'arriver à toucher un point précis à plusieurs mètres de distance. Il se révéla un excellent archer, et fit des progrès incroyables en peu de temps. Pourtant, jamais il ne participera à une compétition, ou un concours. C'est cool de gagner, mais c'est pas cool d'avoir trop de règles à respecter.
Lors de ses 16 ans, Mickaël poursuivait encore ses études. Vaguement. Un vrai touriste, qui passait plus de temps à planifier ses prochains actes de profonde génialité qu'à entendre le professeur. Il n'était encore qu'un adolescent rêvant de grandeur, et il était assez connu dans la rue. Mais jusque là, il était encore banal.
C'est alors qu'eut lieu l'invasion d'Eggman.
Il était dans la rue avec ses potes quand le premier robot s'approcha. La plupart prirent les jambes à leur coup, le chef de gang resta planté, imposant, ne cédant du terrain pour rien au monde. Deux trois autres plus courageux que le reste restèrent à ses côtés. Mickaël réagit très rapidement. "Retenez-le, je reviens."
Ses potes crurent qu'il se moquait d'eux, mais Mickaël avait vraiment un plan. Il courut jusque chez ses parents, sonna, appela son père par la fenêtre. Celui-ci fut étonné de le voir rentrer si tôt. En core plus étonné quand il lui demanda de lui lancer son carquois et son arc. Mais il y avait quelque chose dans le regard de son fils qui lui ôta toute hésitation. Il s'exécuta, et Mickaël s'arma. Banda son arc, encocha une flèche, se retourna. Visa une demi seconde. Tira.
Une trentaine de mètres plus loin, à l'autre bout du pâté de maisons, le robot qui s'était approché eut à peine le temps de se demander comment cette flèche lui était entrée dans le cou avant qu'il ne tombe, désactivé. Mickaël arriva, triomphant. Son chef de gang, bouchée bée, ne but dire qu'un mot, qu'il fit traîner en longueur. "Cooooool..."
L'archer, gonflé de fierté, fut cependant attiré par un cri. Un robot menaçait une jeune femme. Il n'aimait pas trop la jeune femme en question. Tant pis. Il courut vers la scène tout en encochant une nouvelle flèche, et transperça l'oeil et le crâne de ce second robot.
C'est à peu près à ce moment là que tout un régiment débarqua.
"Bobo ! T'es bon en mécanique ? Où sont les points faibles de ces machines ?"
L'interpellé mit un certain temps avant de réagir, tant la situation était ingérable. Il répondit rapidement, avant de courir s'enfermer chez lui.
"Chef ! Faut mettre tout le monde à l'abris ! Je vais les retenir un moment !"
Le chef de gang essaya de le dissuader d'effectuer une telle opération suicide. Mais pour la première fois de sa vie, il n'était pas écouté par son comparse. En l'espace d'un instant, Mickaël avait pris la régence de leur petite communauté.
Le temps qu'il s'en rende compte, trois robots avaient été embrochés.
Mickaël devait encocher et tirer très rapidement. Si toutes les flèches frappaient un robot, elle n'atteignaient pas toute les points critiques et la précipitation empêchait l'archer de viser correctement. Il dut commencer à reculer, puis se replier vers la planque de son gang.
Quand il entra, il demanda d'abord si tout le monde était là. Il trouva amusant de voir qu'ils étaient une douzaine et qu'il avait tiré deux douzaines de flèches. Vingt quatre robots défaits par un simple archer.
Mais jusque là, les robots n'étaient pas armés de blaster. Et encore moins de boucliers.
Mickaël voulut s'assurer que ses parents allaient bien. Ce fut la même chose pour beaucoup de ses compagnons. Il demanda qu'on lui ouvre la porte tandis qu'il encochait une nouvelle flèche. Un robot en perdit la tête.
Ainsi Mickaël ouvrit une percée parmi l'armée et tirant à toute vitesse, tandis que ses potes, armés de toutes sorte de masses, gourdins et autres morceaux de ferraille frappaient tout ce qui était métallique et qui bougeait.
Mickaël monta sur le capot d'une voiture pour prendre de la hauteur et embrocher tous robot qui s'approchait de ses camarades. Mais bientôt, tout son raffut attira l'attention du commandant du régiment. Et un robot humanoïde bien plus rapide sauta sur la carrosserie de la voiture lui aussi, faisant face à Mickaël. Celui-ci tira une flèche qui ricochetta sur la puissante armure. Déçu par son échec, il commença à déclamer le discours le plus alambiqué et le plus rapide de toute son histoire pour lui expliquer comment qu'ils étaient pas cools de les attaquer et que c'était lui la topissimité en maximun de totalitude. Le robot fut désorienté juste assez longtemps par ce discours pour que Mickaël lui demande où il avait trouvé ses pistolets, parce qu'ils ont l'air vachement méga cool et qu'il aimerait bien les essayer. Il arracha pratiquement le duo de pistolets au robot avant de l'abattre à bout portant avec ses propres armes.
La figure du rebelle de la rue victorieux, debout sur le capot d'une voiture, portant son arc et son carquois à l'épaule, le pied sur la carcasse fumante d'un chef de régiment de robots, armés de deux pistolets encore fumants fut l'image la plus grandiose de sa vie. Un de ses potes avait d'ailleurs pris une photo avec son portable.
Après cette réussite, le gang se dispersa pour s'abriter dans leurs habitat respectifs. De nouveaux régiments de robots arrivaient, plus lourdement armés, et les potes de Mickaël eurent juste le temps de convaincre le héros du jour de ne pas confondre coolitude et suicide pour échapper aux tirs des forces armées ennemies.
Mickaël dut alors accepter la défaite. Metropolis avait été envahit, et pas que. Mobius était devenu l'Empire d'Eggman.
Pas cool. Si Mickaël n'avait plus jamais fait d'acte héroïque jusqu'ici, il n'aimait pas du tout qu'on puisse lui voler sa liberté comme ça.
Il appris alors la création d'un mouvement de résistance. Quelqu'un avait vu la photo, et heureusement c'était quelqu'un sur lequel on pouvait compter.
Il rejoint la Résistance, même si respecter des règles, c'est pas son fort.
Et à présent, il se sentait incroyablement cool.
Il luttait en secret pour sauver le monde entier. On fait pas mieux dans le genre !
Autre :L'idée de Mickaël m'est venue en me tapant un gros trip sur l'histoire de
Safiriana Enrati. J'avais envie de créer un personnage qui parle vraiment de façon pas croyable.
Au sein de la Résistance, Mickaël s'occupe principalement des actions. Il préfère attaquer, bouger, mitrailler les robots adverses. C'est donc un super coéquipier, tant que vous savez l'arrêter dans son élan.