Les problèmes de Snow : La Résistance se replie ! [Intermède Frère Popotin & Cie]

[Suite de Les Problèmes de Snow, la Résistance se replie, Intermède à l'Hôtel d'Emerald Coast]

Frère Popotin


La plage au coucher du Soleil était magnifique. Raison principale pour laquelle on trouvait encore de nombreux touristes en cette heure tardive. Les plateformes de transports fonctionnaient 24h/24, pour peu qu'elles trouvent des utilisateurs. Les magasins, par contre, fermaient assez tôt : même les marchands voulaient profiter de la vue.

Mais si Frère Popotin se rendait sur la plage cette fois-ci, ce n'était pas pour le panorama. Déjà, parce que c'était le point d'accès au QG le plus proche et le plus agréable. Ensuite, parce qu'il avait eu une journée de folie, et qu'une petite pause sur la plage, même d'à peine une minute, ça lui ferait du bien. Enfin, parce qu'avant de pouvoir se reposer, il allait devoir présenter le QG à plein de personnes en même temps. La journée n'était pas finie, et le vent de la marée descendante lui clarifiait l'esprit.
Tout ceci sans compter qu'il avait épuisé presque toutes ses réserves de mana, et que ce petit instant n'est jamais en trop.

Il en avait bien besoin d'ailleurs. Après tous ces évènements, il était allé cherché le code de l'ascenseur auprès d'Esméralda pour rien, et il n'était même pas sûr de se souvenir du code pour les plateformes...

Il se devait tout de même de commencer à fournir quelques explications aux nouveaux venus, il attendit juste qu'ils soient attentifs.

Frère Popotin

HJ- Ne t'en fais pas, ce n'est pas très grave. Onizeroy peut très bien confondre les deux endroits : Emerald Coast est une portion de Seaside Hill beaucoup plus fréquentée et proche de la ville, voilà tout (dans ce RPG, en tout cas.) -HJ


Avant même de pouvoir s'exprimer, son bâton se mit à vibrer, tel un portable le ferait en recevant un message. Il s'excusa auprès du samouraï qui l'avait suivi et se retourna, utilisant son sceptre comme une sorte de micro dans lequel il chuchotait.

Valentin, patron d'un bar nommé "La Taverne" dans Station Square lui envoyait un message comme quoi un guerrier pas commode était entré dans son établissement et avait insulté l'Empereur. C'était une très mauvaise nouvelle. Il lui chuchota simplement de garder un oeil sur lui sans chercher à le provoquer jusqu'à son arrivée.

La communication terminée, il se tourna à nouveau vers ceux qui l'avaient suivi et s'adressa à eux en ces termes :

"Je suis désolé, j'ai une affaire urgente à régler. Restez ici et profitez du coucher du soleil, je reviens dès que je peux. Si je ne suis pas revenu avant la tombée de la nuit, retournez à l'hôtel et demandez à voir Esméralda de ma part. Elle devrait comprendre. Je dois me dépêcher, je ne peux répondre à vos questions. Ne me suivez pas, c'est plus prudent."

Le moine enveloppé se dirigea alors vers la ville en petite foulée. Qu'est-ce qu'il pouvait courir aujourd'hui ! Pourvu que ce soit le dernier rebondissement de la journée, car son corps lui-même rebondis n'était pas celui d'un athlète. Il avait passé l'âge pour de tels imprévus !

Il disparu bientôt au loin de sa démarche assez ridicule. Il était très pressé. Laisser des insouciants qui se déclaraient un duel juste devant une base ennemie seuls sur une plage alors que Robotnik rôdait n'était pas forcément la meilleure des idées.
Laisser un guerrier encore plus insouciant se faire massacrer publiquement l'était encore moins.

[Suite à Une drôle et sympathique rencontre dans Station Square]


HJ- Je vais chercher Bluck. La situation est un peu complexe, ce serait sympa si personne ne suivait Frère Popotin, histoire de ne pas la compliquer encore plus. Je demande rarement ce genre de chose, mais si jamais vos personnages ont une personnalité trop curieuse, faites en sorte qu'il ne suivent pas le moine quand même. Frère Popotin devrait revenir assez vite, mais vous avez le temps d'échanger quelques posts sur la plage en attendant (et ce serait bien, car il s'absente quand même pour plusieurs minutes... -HJ


[Suite de Une Drôle et Sympathique Rencontre dans Station Square]


Frère Popotin revint avec un guerrier saoul appuyé sur son épaule : Bluck. Le combattant avait insulté Eggman dans une Taverne et simulait un état d'ébriété pour excuser ses propos.

Le problème, c'est qu'il y avait beaucoup trop de public qui les avait remarqués. Le moine, déjà essoufflé, fit signe à ceux qu'il avait laissé sur la plage pour les enjoindre à le suivre.

HJ- bon nous y voila. au faite il y a un détails minime que je voulais te dire, mon personnage ne se bat pas avec une lame comme une épée mais plutôt une lame qu'il peut accrocher à son avant bras et le retirer quand il n'en à plus besoin, il le transporte tout le temps dans le sac qui garde toujours pres de lui. il y a tout les bien qu'il à pu récupérer depuis sa fuite de la prison.
je fait un édit pour y mettre plus de sens HJ

alors que je suivais docilement le moine, car il y ressemblais avec sa tunique et ses mimique, il ressemblais à la description que me fasais mes parents des moines. il nous ammenait par un chemin à découvert vers la plage. elle était magnifique, une eau d'un bleue parfait, du sable doux. un paradis qui doit être sauvegardé je Comprend mieux la réaction de la personne de la taverne, il voulais protéger cette beautée à n'importe qu'elle prix, je le comprend ... qu'a moitier.
pourquoi se laissé dominé? pourquoi se soumettre à un tyran? car ils ont encore des choses à perdre à la différce de moi... et même si je le voulais je n'arriverais pas à me donner un vraie but.
Alors que je me perdais dans mes pensées, la nuit commençais à pointer son nez, et le combattant qui suivais aussi le moine commença à mettre sa main sur la garde de son épée. Il avais l'air en pleine forme et ne souffrais apparament d'aucune blessure: il n'a pas du combattre depuis un petit moment. Il avait l'air quand même un peut méfiant mais si il suivais le moine, c'était parce qu'ils se connaissaient, ou que pour les même raisons que moi il s'était retrouvé en mauvaise posture et le moine était venu le secourrir.

je vérifiait si un ennemis était caché proche de la lisère des arbres ou si il nous suivait. personne, je me permit de chuchoté quelque chose qui j'espère se déroulera come je l'espère:

-je suis fatigué, le temps d'un soupir me demande beaucoups d'énergie, j'espere que toi guerrier, tu peux me porter sur ton dos car le repos est notre salut. Ne croit pas que je suis fainéant, j'ai juste besoin de temps que je n'ai pas , je ne peut pas expliquer pourquoi cette demande.
en tout cas j'espere que le guerrier se montrera coopératif car si il ne l'est pas et que les robots sont bien trop nombeux pour lui, ont va passer un mauvais quart d'heure. heureusement que j'ai dépensé qu'une grande partie de mon énergie et non la totalité, en faite je pourrais stopper le temps, mais je ne pourrais pas me relever avant une bonne dizaine d'heure après.

en attendant je me reposais à moitier sur l'épaule du moine tout en observant le couché de soleil, il était bien rouge, trop rouge même: cela ne présage rien de bon .

HJ - Voilà, j'espère que vous avez pas trop attendu. C'est toujours moins long que le VDD de mon VDD. - HJ

Onizeroy restait silencieux face aux événements, tant il ne comprenait rien à ce qui se passait... Il avait rapidement salué le nouvel arrivant qui - il trouvait ça bizarre - demandait à des inconnus de le porter :


- Je suis fatigué, le temps d'un soupir me demande beaucoup d'énergie. J'espère que toi guerrier, tu peux me porter sur ton dos car le repos est notre salut. Ne crois pas que je suis fainéant, j'ai juste besoin de temps, que je n'ai pas, je ne peux pas expliquer pourquoi cette demande.

Soit, un paresseux. Mais quel culot de faire une telle demande à quelqu'un qu'on ne connait pas. Pire, qu'on a même pas salué... Et ce qui surpris le plus Roy', ce ne fut pas ce qu'avait demandé l'hybride bleu, mais la manière dont l'épéiste accepta sans broncher. Cela le laissa perplexe. Il n'était pas fatigué, il y a à peine 30 secondes ? Mais il n'avait rien contre ça, loin de là. Après tout, c'était très généreux de sa part.
Le samouraï eut juste le temps de se dire que, s'il lui avait demandé de le porter, il aurait certainement refusé. Aussi, il décida de ne plus y penser et de s'en tenir aux instructions de Frère Popotin en silence.


D'ordinaire bavard, il était pourtant, depuis son arrivée à l'hôtel, non... sur cette... ce monde, assez réservé. Il préférait observer, quitte à se poser milles questions, même sans réponse. Il n'était pas au bout de ses surprises. Par exemple, en ce moment même, il ne comprenait rien à ce que faisait l'homme devant lui.
Onizeroy n'était pas bête, il pensait bien que le bâton du moine devait servir à faire de la magie, bien qu'il n'en ait jamais vu. Ce dernier agita son bâton devant lui.
Sans aucun résultat.
Onizeroy ne se fit aucun commentaire, il pensait qu'il avait changé d'avis, et qu'il ne voulait plus utiliser la magie. Soit, après tout, il s'en remettait à lui pour le guider ici. Il lui faisait confiance.
Enfin... En partie.

L'obscurité empêchait à Roy de bien voir, comme les autres, cependant cela ne le gênait pas à outre mesure. Il pouvait nettement distinguer les silhouettes de ses acolytes. Le moine, l'épéiste et... ce qu'il avait maintenant sur le dos. Il leur jeta un coup d'oeil rapide et s'aperçut que ce dernier s'affaissait complètement, tandis que l'autre avait l'air exténué, à bout de force. Onizeroy se demandait bien pourquoi il avait accepté de le porter. Mais bon, c'était bien le cadet des soucis de Roy en ce moment.
Il resta donc sagement derrière le moine à observer ses mouvements. Il le vit tapoter sur le mur, comme à l'aveuglette.

"Lui qui fait de la magie, il n'a pas un sort de lumière, un truc du genre... ?" se demanda Onizeroy.

Quelques secondes plus tard, le guide se retourna et dit :

- Je vais vous emmener dans un "club". Quoiqu'il arrive, ne le mentionnez nulle part ailleurs, car un manque de discrétion peut-être fatal. Si vous devez y faire allusion, parlez du "club". Quand nous serons arrivés, je vous expliquerez de quoi il retourne. En attendant, je vous demanderais juste de me faire confiance.


Un "club" ? Qu'est-ce que c'est que ça ? Bon, il le découvrira bien assez tôt. Inutile d'encombrer les autres avec des questions inutiles. Il tînt donc sa langue.
Peu après, le sol bougea en dessous du groupe. Le sol tremblait. Roy fut surpris et failli perdre l'équilibre. Il essaya de s'accrocher à quelque chose, mais il n'y avait rien. Il posa donc un genoux à terre en constatant non sans amertume que le moine tenait debout sans problème. Il essayait tant bien que mal de se relever et d'un coup, il se sentit mal.

"J..Je vais vomir."

Onizeroy se tortilla de douleur sur le sol, il n'en pouvait plus. Il s'approcha de la rambarde et pencha la tête.
Il avait quelques rares fois voyagé sur un cheval, mais c'était tout. Pas par envie, non. S'il le pouvait, il se serait acheté un cheval, histoire de se déplacer où il voulait quand il voulait, mais l'argent lui manquait. L'air de rien, samouraï au service de sa majesté, c'est pas si bien payé que ça... Mais bon, il ne se plaignait pas. Il avait tout ce dont il avait besoin.
Ou presque.

HJ- bon ben allez c'est partie, je vais essayer de faire mieux que mes VDD HJ-


tout ce passais pour le mieux: 1 guerrier qui arrivais à me soulever sans broncher, un autre qui n'avais ni blessure ni trouble, sans quand il m'aperçu, mais ça à la limite je m'en fiche. un truc me chifonne quand même, pourquoi le guerrier blessé, n'a pas laissé l'autre me porter? peut être que c'ets dans ça nature, j'en ai connu des gens comme ça... tous mort. J'espère bien lui rendre la monnaie de sa pièce plus tard.
alors que je me laissais lentement emporter dans le flux sanguin de mon corps pour réduire au maximum ma consommation d'énergie et redonner du tonus à mes membres endoloris, j'aperçu un flash blanc au travers de mes yeux, je les ai ouverts pour vérifier que nous étions pas attaqué par un quelconque robot ou autre nuisance.
une fois la lumière disparue, j'ai enfin pu observer la scène malgré la pénombre qui nous entourais. hereusement que j'avais de bon yeux, comme l'ouie de la plus fine de mon village.... de mon ancien village je devrais dire.

une fois que le moine avait appuyé sur des truc qui ressemblais à des boutons, une porte s'ouvrit devant nous.

"Je vais vous emmener dans un "club". Quoiqu'il arrive, ne le mentionnez nulle part ailleurs, car un manque de discrétion peut-être fatal. Si vous devez y faire allusion, parlez du "club". Quand nous serons arrivés, je vous expliquerez de quoi il retourne. En attendant, je vous demanderais juste de me faire confiance."

"Un club tu dis... ça marche."
un club??? encore une autre chose que je ne connais pas. ce n'est pas grave, autant l'écouter surtout qu'il guidais le groupe.

quelques secondes suivirent puis le guerrier qui me soutenais ressentais des coups de fatigues, à plusieurs reprise il fallit tomber. Mieux valais qu'il ne sois pas ort de ma faute, je ne suporterais pas un autre.
plongé dans mes pensées, j'ai soufflé:
"non... pas un autre."
juste après je me laissais glissé du dos du serviable. quelques seconde plus tard un tremblement surgit me faisant tomber à la renverse puis je me relevais juste après.
l'autre guerrier lacha dans un soupir qu'il ne se sentais pas très bien...

"J..Je vais vomir."

bon et voila un malade de plus... dois-je le soigner? non, il est préférable de protéger des vie que de jouer au médecin. j'ai vue que personne ne l'avais entendu puis m'approchant de lui je lui souffla dans un soupir:

"si tu ne peut pas tenir le coup dit le moi, j'enlèverais ton mal de crane vite fait."

puis je restais en retrait tout en trainant le pas tout en observant ce qui m'entourais, un vaste jardin parsemé d'arbre que je n'ai jamais vue ou très rarement.
La nuit étant tombé, les étoiles nous illuminais le chemins même si mes compagnons ne discernait surment rien du tout à un mètre devant leur nez en les voyant marcher avec tant de précaution.

plusieurs questions me taraudairent l'esprit: pourquoi autant de précaution? qu'avait fait exactement robotnik dans son ensemble? combien de peuple ou ville a-t-il réduit en esclavage comme le miens ? et encore bien d'autre sans réponse pour le moment.

seul le rythme des pas m'empéchait de tomber dans mes souvenir horrible ou j'était encore qu'un enfant qui écoutait tout ce qu'on lui disait. ce temps est révolut je fait que ce qui ME semble bien et là en l'occurence, suivre le moine est l'une des priorité.

Frère Popotin

HJ- C'est officiel, Layle a été désintégré. -HJ


Le samouraï semblait ne pas du tout apprécier le voyage.
Non seulement il perdait l'équilibre, mais il avait l'air... malade.
Et très sensiblement, Bluck avait des façons assez... radicales... face au mal de mer.

Frère Popotin s'accroupit à côté du guerrier qui s'apprêtait à rendre son petit déjeuner, et lui parla d'une voix rassurante, essayant de cacher le fait que l'embonpoint du moine lui rendait cette position très peu confortable.

"Mon pauvre ami, vous semblez déstabilisé. Calmez-vous un peu, regardez : j'ai enclenché les barrières de sécurité, vous pouviez vous y accrocher dès le début. Regardez les étoiles, et vous verrez qu'elles ne tremblent pas : le mouvement est fluide. Voyez comme la plateforme est basse : au moindre problème, vous pouvez sauter sans problème, nous sommes à quelques centimètres du sol. De toutes façons, le voyage sera court : nous sommes presque arrivés."

Le pauvre. Il n'avait visiblement pas l'habitude de tels moyens de transports. Cela pouvait être lié à un trouble qu'il avait eu pendant la journée. Certaines personnes, après avoir vécu un déplacement trop inhabituel, étaient parfois sujettes à d'étranges réactions sur les plateformes de transports de la plage. Personne n'avait encore réussi à l'expliquer, mais elles se mettaient à halluciner, croyant être coincées sur de hautes plateformes tremblantes et glissantes...
Face à cela, Frère Popotin ne connaissait qu'un remède : leur ouvrir les yeux. Les plateformes étaient fréquemment employées, et avaient été étudiées pour être les plus agréables et pratiques d'utilisation qu'il soit envisageable de le faire.

La plateforme s'enfonça bientôt sous le sol, suivant le chemin tracé d'un long tunnel qui n'altérait cependant ni la vitesse ni l'inclinaison de la plateforme. Toutes les lumières étaient éteintes, et pendant un instant le groupe fut plongé dans le noir. Quand la plateforme s'immobilisa, Frère Popotin chercha à tâtons une poignée de porte qu'il avait déjà tant de fois utilisées.

"Mes chers amis, j'ai l'honneur de vous présenter..."

La porte s'ouvrit sur un long couloir éclairé qui éblouis les passagers.

"Le 'Club' du Quartier Général de la Résistance !"

[Suite à l'Entrée du Quartier Général de la Résistance]

HJ- Vous pouvez répondre ici si vous le souhaitez, mais un post là bas est obligatoire pour continuer. -HJ